Il est préoccupant de constater que dans de nombreux pays, y compris le Sénégal, les autorités peuvent parfois se concentrer sur la répression de la dissidence au lieu de traiter des problèmes sociaux cruciaux tels que la cherté de la vie, l’insécurité ou l’émigration clandestine.
La traque des imams, journalistes, politiciens et activistes soulève des inquiétudes quant à la liberté d’expression et au droit à la critique. Cela peut créer un climat de peur et d’autocensure, où les citoyens hésitent à s’exprimer sur des sujets sensibles.
Les figures mentionnées, comme Bah Diakhaté, Oustaz, le Commissaire Keita, Souzane Camara, Bougane Guèye et Cheikh Yerim, symbolisent cette lutte pour la liberté d’expression et les droits civiques. Leur situation met en lumière les tensions entre l’État et la société civile.
Il est crucial que les voix qui s’élèvent contre l’injustice et pour la protection des droits humains soient entendues et soutenues, afin de favoriser un dialogue constructif et d’encourager des réformes nécessaires pour répondre aux préoccupations des citoyens.
De ce fait , nous allons vers des élections législatives le 17 novembre 2024, tout Sénégalais soucieux d’un Sénégal où les droits et libertés sont respectés , doit se lever , s’investir , barrer la route aux néo-colons et voter massivement la liste de la stabilité TWS ( TAKKU Walu Sénégal) dirigée par le président MACKY Sall.